Comment en sommes-nous arrivés à enfermer la construction de bâtiments dans un carcan technique, juridique et administratif, tant et si bien que l’imaginaire collectif nous enjoint de reproduire des schémas stéréotypés : immeuble de logements avec balcons et fenêtres petites ou grandes qu’on distingue d’un coup d’œil de l’immeuble de bureaux, de verre et d’acier, aux espaces extérieurs atrophiés comme si l’homme qui travaille devait être sevré des caprices ou des douceurs de la nature ?